Une deuxième contribution de Laurent Gadolet :
Représente une cour intérieure du vieux Lyon.
Un de mes 1ers HDR.
3 vues à +2 0 -2IL
Assemblées avec Photoshop via calques, masques, sélections, bref, du fastidieux, je n’avais pas encore Photomatix…
Laurent Gadolet
Ha les fameux masques sous Photoshop, je crois que l’on est tous passé par là à une certaines époque. Pour ma part c’était avant que je ne découvre les tous débuts de Photomatix il y a pas mal d’année à présent.
En fait cette méthode porte le nom de DRI pour dynamic range increase, c’est le fait d’utiliser plusieurs photos en 8 ou 16 bits et de jouer sur les calques pour recomposer une photo de la même profondeur. Là où le HDR monte à 32bits pour par la suite compresser avec le tone mapping.
Cette technique est encore différente de l’Exposure Blending qui est plus proche du DRI que du HDR mais qui se fait de façon automatique par des algorithmes.
Merci, Pierre-Henry.
Je n’ai en fait pas complètement lâché cette technique.Certes, Photomatix se « cogne » la plupart du boulot pour mes HDR actuels, mais, en tant que éternel insatisfait, il m’arrive d’insérer en calques des zones d’images choisies sur tel ou tel incrément d’exposition sur le fichier Photomatix, dans le but de toujours plus de naturel… As-tu un nom pour ce type de rendus! (rires)
Cordialement.
Laurent.